Interrogé sur l’idée qu’il était surtout fort et appliqué lorsqu’il jouait face à des top players, l’Australien a eu une réponse assez limpide : « Etre bon dans ce type de duel, c’est facile, vous êtes face à l’un des plus grands joueurs du monde, le stade est plein. Vous vous sentez alors obligé de donner le meilleur. Le vrai problème pour moi c’est de trouver de la motivation quand ces conditions ne sont pas réunies. Je me souviens notamment de mon match face à Kicker à Lyon en mai sur terre battue où je suis passé complètement à côté, je n’y étais pas. Je ne parvenais pas à me mettre dedans, et cela m’arrive quelques fois »
Publié le samedi 19 août 2017 à 11:13