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La France bien lotie

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Voilà, le tirage de l’édi­tion 2013 de la Coupe Davis a été effectué aujourd’hui à Londres. Pour la France, ce sera Israël au menu de ce premier tour. Un rencontre large­ment à la portée des trico­lores version Arnaud Clément, qui pour­ront ainsi se tester. En cas de quali­fi­ca­tion, l’Argentine pour­rait se présenter en quarts.

Il faut oublier la décep­tion de 2012. Ne plus penser à cette fâcheuse élimi­na­tion à domi­cile en Avril dernier face aux Etats‐Unis. Digérer, aussi, le départ de Guy Forget, lui qui a été le capi­taine emblé­ma­tique de cette équipe de France pendant une douzaine d’an­nées. Place à présent à une toute nouvelle année et de nouveaux objec­tifs, sous la houlette du jeune retraité Arnaud Clément. Le prin­cipal but en 2013 ? Gagner. « Nous avons une grosse quan­tité de bons joueurs. Avec Jo‐Wilfried Tsonga, on est même dans le top 10. Nous avons aussi trois joueurs dans le top 20 et de très bons joueurs de doubles capable de briller sur toutes les surfaces. Notre but est de gagner la Coupe Davis à nouveau. Nous ferons tout pour que cela arrive. C’est notre seul et unique objectif », décla­rait Arnaud Clément au site offi­ciel de la Coupe Davis il y a un mois.

Un projet ambi­tieux donc et qui commence dès le 1er Février 2013 avec la récep­tion d’Israël. Une équipe qui a du se défaire du Japon pour assurer sa place dans le Groupe Mondial. Rien de bien insur­mon­table pour Tsonga, Monfils and co. Mais un tirage qui annonce aussi un premier défi en cas de quali­fi­ca­tion pour les quarts, à savoir un très probable dépla­ce­ment en Argentine. Opposés de leur côté aux Allemands, les coéqui­piers de Juan Martin Del Potro ne devraient pas avoir de mal à atteindre ce stade de la compé­ti­tion. Ce qui annon­ce­rait un duel très âpre sur la terre battue de Buenos Aires au mois d’Avril prochain. Finalistes en 2011 et demi‐finalistes en 2012, les Argentins consti­tuent un adver­saire coriace. En atten­dant, les Bleus vont pouvoir tran­quille­ment se préparer indi­vi­duel­le­ment jusqu’en 2013. 

Avant de passer à des consi­dé­ra­tions plus collectives.

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