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Nadal, les facettes d’un diamant…

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Ca y est ! « Rafa, mon amour », LE livre de tennis événe­ment consacré à Rafael Nadal, LE livre hommage au Majorquin qu’il faut avoir dans sa biblio­thèque, LE livre musée de la légende ibère… est enfin dispo­nible. Qu’allez‐vous trouver dedans, vous, fans de Rafa ou passionnés de tennis ? Voici la réponse que vous apporte la préface de l’ouvrage…

RAFA, MON AMOUR
Le livre « Rafa, mon amour » est main­te­nant dispo­nible ! Quand tennis et Rafael Nadal se concentrent en un ouvrage !

112 pages pour décou­vrir l’uni­vers de Rafael Nadal, son mythe, sa légende et des témoi­gnages exclu­sifs à décou­vrir très vite dans cet ouvrage réalisé par la rédac­tion de Welovetennis. N’attendez plus !

« Il faut apprendre pour connaître, connaître pour comprendre, comprendre pour juger. »

Ainsi parlait, au début du XXème siècle, un mission­naire boud­dhiste qui, du tennis, ne savait proba­ble­ment rien, de ses légendes à venir, encore moins. Aujourd’hui, la ques­tion se pose : qui peut se targuer de bien connaître Rafael Nadal, lui aussi en mission pour ses parents, sa famille, ses amis, son île ? Qui ? 

Sa mère, Ana Maria Parera, certes. Son père, Sebastian, bien sûr. Son oncle et coach, Toni, évidem­ment. Mais ses autres oncles et sa tante égale­ment du côté paternel, Miguel Angel, Rafael et Maria Elena. Ses grands‐pères, Don Rafael et Pedro Parera. Son oncle maternel, Juan Parera. Sa sœur, Maria Isabel. Toute son équipe : son agent, Carlos Costa, son attaché de presse, Pérez Barbadillo, son kiné, Rafael Maymo, alias Titin, son prépa­ra­teur physique, Joan Forcades, son deuxième entraî­neur, Francis Roig… 

Ses potes Carlos Moya et Tomeu Salva… Sans oublier sa fiancée, une amie de Manacor qu’il fréquente depuis bien long­temps, Maria Francisca Perello, fille d’un construc­teur local ayant effectué les restau­ra­tions du clocher de l’église, Bernat Perello, et d’une fonc­tion­naire de la ville, Maria Pascual. 

Cet entou­rage complet connait Rafael Nadal sous son vrai visage. Il l’a vu grandir et le couvre encore de son regard chaleu­reux lors­qu’il revient sur son île se reposer, en toute discré­tion, sans atten­tion outrancière.

Mais les fans de l’Espagnol, eux, que savent‐ils de lui ? Les amou­reux de la petite balle jaune ? En‐dehors du masque affiché par l’Espagnol sur les courts de tennis ? En‐dehors des mots de son excel­lente auto­bio­gra­phie, « Rafa, mi historia », écrite par John Carlin ?

Car Rafael Nadal, c’est avant tout cette retenue qu’une éduca­tion basée sur la simpli­cité et des valeurs tradi­tion­nelles ont inscrite dans son compor­te­ment. Une retenue que maté­ria­lisent des prises de parole insi­pides pour certains, simple­ment humbles et prudentes pour d’autres ; un petit sourire pudique dans ses victoires quoti­diennes, beau­coup plus large dans les grandes, qui n’en fait jamais trop. 

Alors, pour le comprendre, le recours habi­tuel est le regard des autres, celui de ses adver­saires, des gens qui le côtoient. Les yeux hagards de Roger Federer lors­qu’il encaisse un 6–1 6–3 6–0 en finale de Roland Garros 2008. Ceux de Novak Djokovic quand il perd en demi‐finale, Porte d’Auteuil, en 2013, 6–4 3–6 6–1 6–7(3) 9–7. Ou ceux de Fernando Verdasco, encais­sant une gifle 6–0 6–1 en finale de Monte Carlo. Des yeux souvent admi­ra­tifs, parfois revan­chards, mais unanimes : Rafael Nadal est l’un des meilleurs joueurs de l’his­toire, toute surface confondue, et le meilleur sur terre battue. 

Des yeux qui l’ont aussi regardé de plus haut, lors­qu’il s’est dirigé, tête baissée, vaincu, vers le filet. Comme ceux d’un Suédois, dont le poing rageur l’a assommé un 31 mai 2009, ou ceux d’un Serbe, battu un jour, impi­toyable un autre, plusieurs autres, en 2011, assé­nant ses regards comme autant d’up­per­cuts. Voire ceux‐ci, grands ouverts, incré­dules, de Steve Darcis après qu’il s’est offert la plus belle perfor­mance de sa carrière dans un temple viride.

Mais Rafa, ce n’est pas seule­ment cela. Pas seule­ment un joueur de terre battue. Pas seule­ment un joueur. Son oncle Toni le rappelle bien souvent. Ses inter­views régu­lières en disent souvent beau­coup plus long : le « nous » qu’il y emploie, parlant des résul­tats de son neveu, suppose une rela­tion qui nous dépasse, unique dans son asso­cia­tion du sportif et du personnel. « Toni est mon coach de tennis et mon coach de vie aussi », tente d’ex­pli­quer le joueur espa­gnol. Alors, quand l’oncle parle du neveu, on écoute attentivement…

L’objet de cet ouvrage est simple : tenter de comprendre Rafael Nadal par l’image et le mot en décryp­tant huit facettes de sa person­na­lité, palpables sur et en‐dehors du court. Et comprendre ce qui fait, aujourd’hui, son immense popu­la­rité. Evidemment, on pour­rait lui poser la ques­tion… Mais sa réponse, il l’a déjà donnée : « Je ne suis pas la personne à qui il faut le demander. La seule chose que je peux dire, c’est que j’es­saie d’être fair‐play, correct et sympa. En‐dehors du court, j’es­saie de saluer tout le monde. Je pose avec les gens. » Ajoutant avec toute sa désar­mante simpli­cité : « En fait, je suis juste normal. »

Pour aller un peu plus loin, il faut creuser en Rafael Nadal comme on creu­se­rait dans la terre, sa terre chérie, sa terre ibère, battue ou non. Ce faisant, on y trou­ve­rait huit matières diffé­rentes. Rafa, le terrien. Rafa, le tech­ni­cien. Rafa, le Majorquin. Rafa, le neveu. Rafa, le forcené. Rafa, le rival. Rafa, l’en­fant. Rafa, le superstitieux. 

A vous, désor­mais, de plonger les mains dans cette terre frémis­sante, de la humer, peut‐être même de la goûter pour en appré­cier toutes les subti­lités. Et de comprendre, enfin, Rafael Nadal.

RAFA, MON AMOUR
Le livre « Rafa, mon amour » est main­te­nant dispo­nible ! Quand tennis et Rafael Nadal se concentrent en un ouvrage !

112 pages pour décou­vrir l’uni­vers de Rafael Nadal, son mythe, sa légende et des témoi­gnages exclu­sifs à décou­vrir très vite dans cet ouvrage réalisé par la rédac­tion de Welovetennis. N’attendez plus !