AccueilWimbledonLondon Calling: Ça passe pour les gros, sauf Nadal

London Calling : Ça passe pour les gros, sauf Nadal

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Les résul­tats notables de la journée

Roger Federer (SUI) [2] bat Sam Querrey (USA) 6–4 6–2 6–2

Dustin Brown (GER) bat Rafael Nadal (ESP) [10] 7–5 3–6 6–4 6–4

Andy Murray (GBR) [3] bat Robin Haase (NED) 6–1 6–1 6–4

Viktor Troicki (SRB) [22] bat Aljaz Bedene (GBR) 6–4 3–6 6–2 6–4
Nikoloz Basilashvili (GEO) bat Feliciano Lopez (ESP) [15] 7–5 3–6 6–3 2–6 6–4

Ivo Karlovic (CRO) [23] bat Alexandr Dolgopolov (UKR) 5–7 6–3 6–4 6–7(4) 13–11

Sabine Lisicki (GER) [18] bat Christina McHale (USA) 2–6 7–5 6–1

Petra Kvitova (CZE) [2] bat Kurumi Nara (JPN) 6–2 6–0

Agnieszka Radwanska (POL) [13] bat Ajla Tomljanovic (AUS) 6–0 6–2

Magdalena Rybarikova (SVK) bat Ekaterina Makarova (RUS) [8] 6–2 7–5

Caroline Wozniacki (DEN) [5] bat Denisa Allertova (CZE) 6–1 7–6(6)

Jo‐Wilfried Tsonga (FRA) [13] bat Albert Ramos‐Vinolas (ESP) 6–3 6–4 6–4

Tomas Berdych (CZE) [6] bat Nicolas Mahut (FRA) 6–1 6–4 6–4

Gilles Simon (FRA) [12] bat Blaz Kavcic (SLO) 6–1 6–1 6–7(5) 6–1

Gael Monfils (FRA) [18] bat Adrian Mannarino (FRA) 7–6(5) 6–3 7–6(5)

Roberto Bautista Agut (ESP) [20] bat Benoit Paire (FRA) 2–6 4–6 6–3 6–3 6–3

Olga Govortsova (BLR) bat Alize Cornet (FRA) [25] 7–6(6) 2–6 6–1

La vidéo du jour : Nadal prend la porte !

En bonus track, la malice de Federer face à Querrey

Les tweets de ce jeudi

Les déclas du jour

Forcément dépité suite à son élimi­na­tion du côté du All England Club, Rafael Nadal est revenu en confé­rence de presse sur sa défaite face à Dustin Brown : « Entre l’ad­ver­saire, moi‐même, c’est un ensemble de choses qui m’a fait perdre. Sur ce court, vous affrontez des gars qui ne veulent pas rester derrière, et il en fait partie. Ce court donne à ce genre de joueurs la possi­bi­lité de jouer et gagner comme ça. Contre un gros serveur comme lui, qui n’a rien à perdre, il ne faut pas faire d’er­reurs. Je n’ai pas pu donner du rythme, frapper trois fois d’af­filée le même coup. Et quand il faut placer le bon coup, vous n’avez pas la confiance nécessaire. »

Victoria Azarenka, visi­ble­ment sur un petit nuage en cette quin­zaine londo­nienne : « Il y a plein de raisons pour dire que j’aime ce tournoi. Tout d’abord, quand tu es enfant, ton tournoi favori, celui qui te motive, auquel tu rêves chaque nuit, c’est Wimbledon. C’est si spécial de jouer ici. Ces rêves dans lesquelles tu soule­vais le trophée après la finale, ils reviennent te hanter quand tu joues ici. Il y a tant d’his­toire, toutes ces tradi­tions, c’est juste merveilleux. Moi j’au­rais adoré jouer Billie Jean King ! Elle a telle­ment donné pour le sport féminin, pas seule­ment pour le tennis. Elle est un modèle, j’au­rais donc aimé l’affronter. »

Marion Bartoli, remon­tant les bretelles de Caroline Garcia, éiminée dès son entrée en lice : « Quand « Caro » joue bien, elle est à un niveau qui peut être très élevé. Puis elle dégou­pille et on ne sait même pas pour­quoi. Quand elle se tend un tout petit peu, on voit deux joueuses complè­te­ment diffé­rentes, le jour et la nuit. Elle n’ar­rive plus à rattraper le fil. Si j’avais eu ses atouts, ce n’est pas un Grand Chelem que j’au­rais gagné, c’est dix ! Pour elle (21 ans, 33eme mondiale), ça doit être un calvaire. On voit très bien qu’elle essaie mais qu’elle ne comprend pas pour­quoi elle n’y arrive plus. Ça doit être horrible à vivre. Quand je n’y arri­vais pas, moi, au moins je savais pour­quoi. C’est pour ça qu’elle est en détresse. »