Pauline Parmentier a toujours le sourire même si son début de saison n’inspire pas confiance. Malgré tout, elle croit en ses chances car elle a changé complètement d’approche :
« J’ai eu trois mois de galère et cela m’a vraiment aidé dans ma réflexion. Je suis en fin de carrière, je n’ai pas envie d’avoir de regrets et je ne veux pas finir frustrée. Ce sont des moments rares, il faut que je puisse en profiter et surtout parvenir à être performante. J’ai pris conscience que je me mettais énormément de pression sur ces échéances, il faut que je positive plus. Après c’est vrai aussi que la terre battue m’aide aussi. Je me sens dans mon élément. Après concernant mon adversaire Sloane Stephens, c’est difficile de savoir à quoi s’attendre car elle est capable de tout. Le fait de l’avoir battu sur notre seule confrontation sur l’ocre est un petit plus même si elle a beaucoup progressé. Ce que je sais c’est que si je veux réaliser une grosse performance il faut que je reste sur mon plan de jeu et que je ne la regarde pas jouer. »
De votre envoyé spécial à Aix‐en‐Provence
Publié le vendredi 20 avril 2018 à 18:10