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6. Gulbis, quand il n’y en a plus, il y en a encore !

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Ils ont pété des plombs tout au long de cette année 2013 ! Oui, un certain nombre de joueurs et de joueuses ont vu leurs nerfs lâcher au cours de la saison. Et de façon pas toujours jolie, jolie… L’on pour­rait même dire sans prendre trop de risques que nos sanguins ont été parti­cu­liè­re­ment imagi­na­tifs. Alors, ce mercredi, retrouvez, de 11h00 à 19h00, notre sélec­tion des huit coups de sang les drôles, tristes ou impres­sion­nants de l’année !

La place d’Ernests Gulbis dans ce top 8 des coups de sang de l’année, c’est un peu une histoire d’ab­né­ga­tion. Et de logique, il est vrai, tant le sulfu­reux letton présente des dispo­si­tions toutes natu­relles à se retrouver dans ce clas­se­ment. Dans son match perdu face à Juan Monaco à Monte Carlo, celui qui est revenu du top 200 à la 24e place mondiale cette année a légè­re­ment pété un câble. Mécontent d’être mené dans le troi­sième set, il a commencé par frapper une balle dans le public. Point de péna­lité, a déclaré l’ar­bitre. Ratant derrière un amorti, Gulbis s’est encore énervé et en a brisé sa raquette sur son banc. Jeu de péna­lité, a déclaré cette fois‐ci l’ar­bitre. Plutôt du genre taquin et provo­ca­teur, Ernests n’a pu s’empêcher de demander à ce dernier ce qu’il faudrait qu’il fasse pour hériter d’un match de péna­lité. Du grand art !