On avait connu Andy Murray les cheveux en pétard, rasé plus que succinctement et parfois vêtu d’une manière assez douteuse. Aujourd’hui, l’Ecossais prend soin de lui, de sa tenue vestimentaire, à sa coupe les cheveux. « Cela n’a rien d’étonnant » selon Neil Harman, journaliste du Times.
« Il y a un an, il a signé un contrat avec Simon Fuller’s 19 Entertainment, l’agence qui s’occupe notamment de David Beckham. Objectif : mieux vendre son image. C’est un joueur qui manque de confiance en lui, certains le disent même timide. Et il a une voix que lui‐même définit comme la plus ennuyeuse du circuit. Ça a pu le pénaliser au départ. Par ailleurs, certains journaux ont détourné des propos qu’il a tenus. Il faut dire que, à l’époque, il ne faisait pas vraiment la différence entre parler à un copain et à un journaliste. Il a beaucoup appris de ce côté‐là et il a une très bonne relation avec la presse à présent. Et aussi avec le public. Un exemple : après Wimbledon, à la surprise générale, il a tenu à représenter le nord de l’Ecosse dans un petit tournoi de double. Les gens ont adoré.« ‘
Publié le lundi 23 novembre 2009 à 19:04