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Ivanisevic‐Rafter : Mad Monday

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Petit retour en vidéo sur l’un des 40 matches de « Grand Chelem, mon amour ».

Aujourd’hui, focus sur Goran Ivanisevic‐Patrick Rafter, en finale de Wimbledon 2001. Le score : 6–3 3–6 6–3 2–6 9–7. Un match inou­bliable, auquel nous avons fait une place dans le huitième chapitre, « Je t’aime… pour toujours ». On vous propose le début de la chro­nique qui permet de bien replacer le contexte de la rencontre et le dernier jeu en vidéo. Un dernier jeu assez incroyable, avec ces doubles de l’ami Goran, suivies de ces services gagnants, ce lob impro­bable de Rafter… avant la déli­vrance finale. De l’émotion !

Pour la deuxième fois de l’his­toire du tournoi, la finale de Wimbledon se joue un lundi, en inté­gra­lité. Cette petite incon­gruité fait des heureux : « En sortant de ma demi‐finale, j’ai vu une queue de cinq kilo­mètres… » explique Goran Ivanisevic. « N’importe qui pouvait acheter des billets, les gens normaux pouvaient voir la finale. » Des gens « normaux », oui, mais, surtout, de vrais suppor­ters, qui se ruent sur les guichets, déva­lisés en l’espace de deux heures. Des suppor­ters qui ont fourbi leurs armes, déjà munis de leur pano­plie favo­rite : kangou­rous en plas­tique pour les uns, drapeaux trico­lores pour les autres. Sur le court, les deux fina­listes, habi­tués des lieux, sont prêts. D’un côté, le Croate Goran Ivanisevic, trois fois fina­liste malheu­reux, qui a obtenu, cette année, une wild­card pour entrer direc­te­ment dans le tableau final. En face, Patrick Rafter, ex‐numéro un mondial, double vain­queur en Grand Chelem.
(Mad Monday, page 94, chapitre 8 : Je t’aime… pour toujours)

Le livre « Grand Chelem, mon amour » est dispo­nible, en exclu­si­vité et en quan­tité limitée. Retrouvez les 40 matches de légendes de la décennie 2001–2011. Un livre de la rédac­tion de GrandChelem/Welovetennis.