Hier soir, sur le site de l’Equipe, le fondateur de l’Elite Center de Cannes a tenu à préciser qu’il fallait plutôt être optimiste que de voir tout en noir : « Je n’aime pas les gens pessimistes. Il faut trouver des solutions. Il faut se laisser des hypothèses de travail. Être pragmatique. J’aimerais qu’il se passe quelque chose pour mettre du sens. Je suis un fervent supporter de la reprise. J’aimerais que les joueurs connus disent plutôt : »On va peut‐être jouer cette année », en se gardant des hypothèses optimistes. J’adore Nadal. Mais ce qu’il raconte là, ça ne me parle pas beaucoup. S’il y a deux Grands Chelems qui veulent être joués, il faut tout faire pour qu’ils le soient. Il faut jouer ce qui peut l’être ! »
Publié le jeudi 7 mai 2020 à 18:27