A l’approche des premières échéances sur terre battue, il nous vient forcément à l’esprit le nom de Rafael Nadal. Un analyste, Craig O’Shannessy, a eu l’idée de s’intéresser au placement si atypique du Majorquin lors des retours de services. Il pense tout d’abord que Rafa a quelque chose d’inné qui lui permet de donner autant de poids à la balle en la faisant tourner. En 2018, avant de remporter son onzième trophée à Roland‐Garros, le numéro deux mondial avait pris 41 fois le service de ses sept adversaires durant la quinzaine. Une preuve que son placement joue un rôle essentiel.
Publié le mercredi 10 avril 2019 à 14:46