Suite aux révélations d’Andre Agassi sur sa consommation de drogue (la métamphétamine) en 1997 et ses mensonges aux autorités sportives, l’Agence mondiale anti‐dopage a annoncé réfléchir quant à une possible enquête voir même sanction contre le joueur.
David Howman, directeur général de l’AMA s’explique : « Il a pris un produit qui était sur la liste interdite en 1997, mais nous ne pouvons rien faire à ce propos car il y a prescription, ça date de plus de huit ans. Mais deux choses nécessitent une enquête plus approfondie : s’il a réellement menti, et il a avoué l’avoir fait, alors il a menti sous serment et cela mérite d’aller plus loin pour voir si des charges contre lui sont envisageables. Nous nous souvenons tous du cas de Marion Jones, qui avait menti devant un tribunal. Ensuite, il avait un avocat qui le représentait. Est‐ce qu’il savait que son client mentait ? Si c’est le cas, il y a peut‐être quelque chose à faire de ce côté là. »
Publié le lundi 2 novembre 2009 à 10:20