Roger Federer l’avait évoqué lui même au cours de la saison, souvent il est « tombé » alors qu’il était plutôt près de la victoire. Face à Djokovic notamment en demi‐finale de l’US Open où il ne convertit pas deux balles de matches. Mais aussi à Indian Wells par exemple face à Baghdatis (trois balles de matchs non converties). Alors qu’il était le grand stratège du « money time », Roger Federer a encore fait preuve de fébrilité dans le tie‐break du 3ème set face à Monfils. Sûrement que les échecs précédents ont joué un rôle psychologique. Ce fut l’un des problèmes du Suisse cette saison 2010. Il reste la Masters Cup pour évacuer ce petit « syndrome », tout un programme !
Publié le samedi 13 novembre 2010 à 21:16