Alors que Toni Nadal a confirmé hier que son neveu serait bien présent à Montréal, Rafael Nadal a accordé une longue interview au quotidien sportif espagnol Marca. Le numéro 2 mondial s’y livre comment rarement, de Federer à sa fin de saison, en passant par ses plus grandes fiertés et l’histoire du tennis. L’Espagnol a annoncé son calendrier pour la fin de l’année, assez chargé. « Montréal, Cincinnati, US Open, Copa Davis, si je suis appelé et si je n’ai pas de contretemps, ensuite Bangkok, Pekín, Shanghai, Paris et Londres. » Voici quelques extraits du long entretien
« M’entraîner autant de temps m’a fait le plus grand bien. Je me sens meilleur. Pour être honnête, cela faisait un petit moment que je n’étais pas à 100%. Depuis Miami, j’ai senti des douleurs au genou. J’ai pris la décision de jouer à Montréal lundi, car je bouge mieux, je cours mieux. Depuis samedi dernier, je m’entraîne sans forcer. Je n’ai jamais pensé à une fin de carrière prématurée. En 2005, quand j’ai été blessé, la situation était bien plus compliquée. J’avais 19 ans, je venais d’éclore… Maintenant, ça va, même si je m’attends à passer une fin de saison délicate, avec un Federer plus fort que jamais. Je suis tellement content pour lui, je lui ai d’ailleurs envoyé trois messages de félicitations pour la naissance de ses jumelles. Et vous savez quoi ? Il m’a répondu, trois fois. Lui, c’est un Monsieur. »
Le reste des confidences de Nadal sont à découvrir ici.
Publié le mardi 4 août 2009 à 14:50