Le Français est conscient de l’attente du public français à Roland Garros. Depuis 1983 et la victoire de Yannick Noah, une victoire tricolore est désepérément attendue. La Monf’ comprend cette attente mais demande de la patience, comme il l’a dit à Reuters :
“On nous rappelle souvent que Yannick Noah avait un mental plus fort, qu’il savait ce qu’il voulait. C’est plus dur pour nous, on travaille, mais en 1983 il a eu beaucoup de réussite. Actuellement, sur le circuit, il y a des joueurs qui sont plus forts que nous, tout simplement. Il ne faut pas se leurrer, Rafa a des stats improbables sur terre battue, Federer fait demi-finale au minimum en Grand Chelem. On a tous envie d’inscrire notre nom au palmarès mais il faut patienter. Et là, je parle au nom de mes potes”.
Un discours qui, sauf grande surprise, devrait être ressorti l’année prochaine…
Publié le mardi 18 mai 2010 à 16:05