Le top 4 est vraiment remonté, ces dernières semaines. Après la fronde menée à l’US Open par les top players contre les organisateurs, ils en remettent une couche contre l’ITF et le calendrier. Après Rafael Nadal, c’est Andy Murray qui élève la voix pour dénoncer l’incohérence d’un calendrier trop exigeant.
« Le calendrier est bordélique, nous devons le changer. Les épreuves obligatoires, c’est devenu ce qu’il y a de pire. Avant, on n’avait qu’à jouer neuf Masters 1000 et quatre tournois du Grand Chelem, soit 13 au total. Je suis ouvert à l’idée selon laquelle certains petits tournois peuvent ne pas être disputés parce que 250 points d’attribution ne feraient pas tant de différence. Quand on joue des Masters 1000 ou des Grands Chelems, on se mesure aux meilleurs joueurs du monde à chaque fois. »
Publié le lundi 19 septembre 2011 à 14:44