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Murray, le perdant magnifique

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La statis­tique semble incom­pré­hen­sible. Digne d’Ivan Lendl ou d’Andy Roddick. 2 sur 10. C’est le nombre de tour­nois du Grand Chelem gagnés par l’Ecossais sur le nombre de finales joués, soit 20% de réus­site. Pour un joueur présent dans le Big Four depuis des années, ça ressemble à une malé­dic­tion. Il suffit de regarder ses adver­saires dans les finales qui lui ont échap­pées, il n’y en a que deux : Novak Djokovic, qui vient de remporter 5 des 6 derniers Grand Chelem, et Roger Federer le recordman de titres dans cette caté­gorie. Alors le Britannique manque‐t’il de chance ou est‐il juste là où se situe son niveau ? Un débat qui n’a pas fini de faire parler.

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