La statistique semble incompréhensible. Digne d’Ivan Lendl ou d’Andy Roddick. 2 sur 10. C’est le nombre de tournois du Grand Chelem gagnés par l’Ecossais sur le nombre de finales joués, soit 20% de réussite. Pour un joueur présent dans le Big Four depuis des années, ça ressemble à une malédiction. Il suffit de regarder ses adversaires dans les finales qui lui ont échappées, il n’y en a que deux : Novak Djokovic, qui vient de remporter 5 des 6 derniers Grand Chelem, et Roger Federer le recordman de titres dans cette catégorie. Alors le Britannique manque‐t’il de chance ou est‐il juste là où se situe son niveau ? Un débat qui n’a pas fini de faire parler.
Publié le lundi 6 juin 2016 à 15:25