« Lors du premier match, on ne sait jamais vraiment ce qui va se passer. En tout cas, revenir ici où j’ai triomphé me laisse penser que je peux réaliser des grandes choses. De plus voir mon drapeau national flotter me le rappelle chaque jour. Je suis contente de mon année, car je suis régulière. J’ai mis finalement six mois à digérer mon succès à Paris. Maintenant je peux nourrir de vraies ambitions ». Interrogée également sur la finale un peu « folle » de Rome, Na Li a esquissé un sourire avant de préciser : « Je sais maintenant que je peux jouer un match de tennis sous la pluie »
De votre envoyé spécial à Roland Garros
Publié le lundi 28 mai 2012 à 15:29