Face à Federer, et quel que soit la surface, Nadal travaille le revers du Suisse avec une précision diabolique. Il le fait dans l’échange et bien evidemment au service, la seule variation qui semble permise, c’est une première de temps en temps au corps, et un gros coup droit décroisé quand son adversaire a déjà joué au moins 5 revers. Cette tactique peut également s’appliquer à tous les niveaux et encore plus à un niveau amateur où il faut bien le dire le revers est souvent le coup le plus faible.
Publié le dimanche 6 juillet 2008 à 23:55