6–0 face à Almagro, 6–0 contre Robredo, 10 ‑0 face à Verdasco, 11–3 contre Ferrer, 7–2 contre Ferrero … Rafael Nadal n’est pas tendre avec ses compatriotes, surtout sur terre battue où Ferrer l’a battu … en 2004 et Ferrero en 2008, mais Nadal était diminué. Selon Arnaud di Pasquale, en plus d’être plus fort sur le papier, Nadal exercerait sur ses adversaires et notamment les Espagnols une domination psychologique : « J’ai l’impression que tous les joueurs partent battus face à Nadal sur terre battue. Il suffit de voir la finale de Verdasco à Monte‐Carlo », a déclaré l’ancien joueur à 20 minutes. Almagro saura‐t‐il prouver le contraire ?
Publié le mercredi 2 juin 2010 à 11:13