Pour L’Equipe, Pascal Maria est revenu sur le rôle d’arbitre au tennis. Au lendemain de la polémique née d’une erreur de l’arbitre du match Djokovic – Melzer, l’arbitre français, qui a à son actif 7 finales de Grand Chelem, reconnait avoir « plus confiance en l’homme qu’en la machine, le Hawk‐Eye ». Il parle de la spécificité de la terre battue pour l’arbitre : « C’est un arbitrage complètement différent, il y a la notion de trace, ne pas perdre la trace, savoir si l’on rejoue le point. Il y a d’autres paramètres qui entrent en jeu. La pression est avant le match, après on est dans notre bulle. Tous les matchs sont des moments incroyables, chaque entrée sur un court central,… ».
Publié le jeudi 3 juin 2010 à 15:00