Dans sa dernière interview accordée au quotidien espagnol, AS, Rafael Nadal a abordé de nombreux sujets, un peu plus d’un an après sa retraite.
Et après avoir évoqué la possibilité d’entraîner un jour Carlos Alcaraz et les caractéristiques du numéro 1 mondial et de Jannik Sinner par rapport aux siennes, l’homme aux 14 Roland‐Garros a été interrogé une possible carrière en politique.
Et visiblement, cela ne l’enchante guère. Extraits.
Question : En politique : personne ne vous a proposé de devenir conseiller municipal ou d’occuper un autre poste public ?
Rafael Nadal : Non. Ils savent que je n’aurais pas beaucoup de chances de réussir. Je ne pense pas que ce soit le moment idéal pour se lancer dans la politique : tout est très tendu.
Question : Cela ne vous attire pas beaucoup, n’est‐ce pas ?
Nadal : Non. Je pense qu’il y a trop de tensions. Il serait bon de revenir à la raison, de ne plus s’insulter, de penser au bien commun. Les politiciens ont un impact important sur nos vies. Nous devrions revenir à un état plus serein, que tout rentre dans l’ordre et qu’il y ait plus de respect entre eux. Que cela ne ressemble pas à un match de football. Le bien commun réside dans ce qui est fait, mais aussi dans la manière dont cela est fait. Et ce qui est généralement transmis, c’est trop de tension.
Publié le vendredi 26 décembre 2025 à 19:50