Depuis la renaissance australienne de Verdasco, Florent Serra a rencontré le n°2 espagnol trois fois, dont un match l’an dernier à Roland-Garros et un autre à l’US Open. Autant de défaites sans appel pour le Bordelais, qui estime que s’il joue sur le central, où la surface est plus lente, il a peut-être une chance. Voilà comment Serra voyait les choses dans l’Equipe : « Il a un jeu qui me gêne sur terre battue. Il va falloir que je prenne la balle tôt, parce que si je me mets derrière la ligne de fond de court à faire l’essuie-glace, je vais me faire bouffer. » Bonne chance Florent !
Publié le mercredi 26 mai 2010 à 09:44