Dans L’Equipe d’aujourd’hui, Gilles Simon disserte sur son jeu si atypique. Morceaux choisis.
« Je ne fais pas déjouer ! J’essaie juste de trouver une filière où je vais gagner mon service facilement. […] Les autres joueurs ont moins l’habitude (de ce jeu‐là), ils ont plus l’habitude de se rentrer dedans. Moi, je peux courir longtemps. Je fais jouer. Je sais qu’à un moment, je vais avoir des solutions, c’est sûr. J’ai besoin d’être dos au mur pour être plus entreprenant. Ca a ses bons et ses mauvais côtés. Les bons, c’est quand j’arrive à me hisser au niveau d’un Federer au 2e tour cette année à Melbourne. Les mauvais, c’est quand je finis à 6–4 au cinquième contre Mello ici. »
Publié le mardi 6 septembre 2011 à 14:14