Tsonga sait à qui il a affaire. Mieux que quiconque. S’il reconnaît les capacités impressionnantes de David Ferrer sur terre battue, il est conscient de ses atouts et des secteurs du jeu dans lesquels il est supérieur à l’Espagnol, comme il le confie à l’Equipe :
« David n’abandonne jamais et a une fantastique couverture de terrain. Son coup droit fait mal et quand il vous entraîne dans de longs échanges il ne lâche plus sa proie. Mais j’ai les armes pour le battre : je frappe plus fort que lui et sers mieux. »
Publié le vendredi 7 juin 2013 à 11:08