C’est une idée qui commence à faire son petit bonhomme de chemin. Notamment à l’ITF, où Stuart Miller, responsable du programme antidopage de la Fédération, a confié à USA Today que l’idée de mettre en place un passeport biologique était fort possible. Ce passeport est une méthode pour collecter et comparer les données biologiques des athlètes, afin de détecter des variations anormales. Même s’il est déjà utilisé dans le cyclisme et l’athlétisme, Stuart Miller juge son adoption compliquée, en termes de coût ou de pratique. Il ne faudrait en revanche que 12 mois pour que le passeport soit opérationnel une fois la décision prise, comme le précise le site de L’Equipe.fr
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Publié le lundi 21 janvier 2013 à 15:38