Ce matin, je suis arrivée au stade en même temps que Thomas Muster. Vous vous souvenez de Thomas ? L’homme d’acier. Et bien, il n’a pas changé d’une once !
Superbe, dans ses tongs et son marcel foncé, son sac de raquettes en vrac sur le dos et son accréditation pandouillant au ras du sol… Il me lance un gentil « bonjour ! », ajoutant : « y fait froid ! »
« Froid », le mot est un peu fort… Mais tout est fort chez Muster, « l’homme à la volonté de fer » !
C’est tout ce que l’on souhaite à Federer : être solide en bras de fer au moment d’affronter un Hewitt que beaucoup trouvent en grande forme ici.
A bientôt !
Gwendoline Cordeliers, en direct de l’Open d’Australie
Publié le lundi 25 janvier 2010 à 04:26