Dès l’insertion de son pied dans la Tour II, on ressent une grande rigidité. Cette raideur s’efface peu à peu à mesure que la chaussure se détend. Le cuir épais de l’avant‐pied renforce cette sensation puisqu’il n’est pas rembouré. La Wilson présente aussi une particularité : sa semelle proéminante. L’amorti est donc très bon mais son côté bombé au creux du pied peut causer des gênes. Passer ces particularités, la Tour II accroche bien et est bien aérée. Une chaussure pour des gabarits légers.
PRIX:110 EUROS
Note:14/20
Publié le vendredi 27 mars 2009 à 13:34