Welcome to Miami

-

Tous les matins pendant le tournoi de Miami, la Rédaction vous prépa­rera un réca­pi­tu­latif des événe­ments de la nuit en Floride.

Les résul­tats complets de la journée de jeudi

Les Bleu(e)s se ratent

Après une belle journée, le tennis trico­lore n’était pas à la fête : Alizé Cornet, Océane Dodin, Caroline Garcia et Calvin Hemery ont tous pris la porte. Alizé Cornet s’incline face à Anastasija Sevastova (7−5, 6–4), Caroline Garcia passe complè­te­ment à côté de son match face à Alison Riske (6−3, 6–1). Océane Dodin, elle, était proche d’un exploit face à Simona Halep puisqu’elle a malmené la numéro 1 mondiale au point de mener 4–2 dans le troi­sième set. Elle a été trahie par son service avec seule­ment 43% de premières et 16 doubles fautes. Rageant. Calvin Hemery a été corrigé par Thanasi Kokkinakis pour son premier match en Masters 1000 (6−1, 6–2).

Azarenka pour­suit sa route

Victoria Azarenka dispu­tera le troi­sième tour de Miami après avoir profité de l’abandon de Madison Keys, touchée à la cuisse gauche. Auparavant, l’ex-numéro 1 mondial avait réussi une bonne entame de match en menant 3–1 puis elle avait été rattrapée par l’Américaine qui était tout près de s’emparer du premier set 5–3. Elle s’est d’ailleurs procurée deux occa­sions de le remporter à 6–5. Keys a jeté l’éponge alors que Vika menait 7–6(5), 2–0. Au troi­sième tour, elle affron­tera Anastasija Sevastova.

Les favo­rites assurent

En plus de Simona Halep quali­fiée pour le troi­sième tour, Angelique Kerber et Karolina Pliskova ont assuré leur place au troi­sième tour. L’Allemande s’est promenée face à Johanna Larsson (6−2, 6–2) et la Tchèque a bataillé face à Ekaterina Makarova (7−5, 7–5).

La décla de la nuit…

Caroline Garcia, balayée par Alison Riske (propos relayés par L’Équipe) : « Je ne suis jamais rentrée dans mon match. Riske m’a mis beau­coup sous pres­sion et je ne suis jamais parvenue à imposer mon jeu (…) Je ne suis pas inquiète parce que ce n’est pas comme ça que je fonc­tionne. Ça ne se joue pas sur un ou deux matches perdus. Ce qui compte, c’est de voir sur une longue période. La bonne atti­tude est là. »

Le point de la nuit…

L’angle de Denis Shapovalov, une merveille…