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Au secours de l’économie

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Fidèle sponsor du tennis britan­nique, et notam­ment au Masters de Londres, Barclays a fait la bonne pioche. Le tennis est devenu un puis­sant marché outre‐Manche. « Nous esti­mons la combi­naison de l’effet Murray, le Masters, le déve­lop­pe­ment de Wimbledon, et l’in­térêt gran­dis­sant pour la Coupe Davis à 400 millions de livres à l’éco­nomie britan­nique », soit près de 450 millions d’euros, assure Tom Cannon, profes­seur en stra­tégie de déve­lop­pe­ment à l’Université de Liverpool au Times. « Mais le tennis est égale­ment porté par l’im­pact de Rafael Nadal et de Roger Federer qui trans­cendent leur sport », conclu le profes­seur. La popu­la­rité retrouvée du tennis en Grande Bretagne a permis à près de 200 000 personnes de s’y investir, et à trois ans des Jeux Olympiques de Londres, le sport est une valeur sûre de l’autre côté de la Manche.