Le Japonais a joué la carte de la transparence auprès du Financial Times en expliquant avec précision ses revenus, ses dépenses, les taxes à payer sur le prize money et ce que prenait en charge les tournois. Ses chiffres confirment qu’un joueur de tennis est un chef d’entreprise et qu’il doit aussi bien savoir gérer son portefeuille. Taro insiste aussi sur le fait que les tournois du Grand Chelem qui sont très lucratifs pourraient être plus solidaires notamment des joueurs au delà de la 200ème place mondiale. Augmenter les prize money sont une bonne chose mais selon lui il faudrait que Roland‐Garros, Wimbledon, l’US Open et l’Australian Open rejoignent la bourse mise en place par l’ATP pour soutenir les finances des joueurs.
« Je pense que la solution serait que chaque joueur, jusqu’au 300e ou 400e rang du classement, reçoive un salaire de 100 000 dollars, réparti entre les Grands Chelems et l’ATP ou la WTA . Cela représenterait 8 millions de dollars de chaque organisation, e n’est pas déraisonnable »
Publié le mercredi 25 juin 2025 à 12:28