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À défaut de briller sur le circuit ATP, les Français raflent presque tout en Challenger

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À part Adrian Mannarino, il y a quelques jours à Newport, Arthur Fils, fin mai sur le tournoi de Lyon et Richard Gasquet, à Auckland en tout début de saison (trois ATP 250), les joueurs trico­lores ne sont pas vrai­ment à la fête sur le circuit prin­cipal. En revanche, en Challenger, l’équi­valent de la deuxième divi­sion, ils sont tout simple­ment irrésistibles. 

Pour preuve, en comp­ta­bi­li­sant le sacre d’Arthur Rinderkench ce dimanche à Zug, en Suisse, c’est déjà la 18e fois de la saison qu’un Français soulève un trophée sur le circuit secon­daire, dont 13 joueurs diffé­rents.

Une statis­tique qui a le mérite de montrer que le tennis bleu blanc rouge est loin d’être aux abois, même si l’on aime­rait évidem­ment une présence un peu plus impor­tante au plus haut niveau. Rendez‐vous peut‐être dans quelques années…