Andy Ram, qui comme ses compatriote Shahar Peer et Jonathan Erlich, n’a pas reçu de visa pour Dubaï, estime que les choses doivent bouger rapidement. « C’est l’un des plus grands événements du calendrier, il faut trouver un moyen d’y voir jouer des Israéliens, explique le vainqueur de l’Open d’Australie 2008 en double au micro de la BBC. Les directeurs de l’ATP et de la WTA doivent assumer leurs responsabilités. »
Pour le joueur israélien, l’heure doit être au pragmatisme : « Je ne sais pas ce qu’il doit être fait… Peut‐être annuler le tournoi ou les sanctionner financièrement, ou autre chose. Mais quelque chose doit être fait pour s’assurer que le situation ne se répète pas l’année prochaine. C’est une situation compliquée avec la guerre… Je comprends la situation du gouvernement des Emirats arabes unis, mais s’ils n’acceptent pas les joueurs en fonction de leur classement, il y a un problème. »
Publié le mercredi 18 février 2009 à 15:33