Après la défaite inattendue de Carlos Alcaraz face à Cameron Norrie dès le deuxième tour du Rolex Paris Masters, certaines langues se délient.
Des observateurs évoquent un Espagnol sous le « joug » de son agent qui lui impose des cadences infernales en signant des exhibitions dès que le calendrier le permet (Ce sera encore le cas en décembre en Floride avec des duels face à Tiafoe et Fonseca, ndlr), quand d’autres parlent d’un Carlitos qui commencerait à avoir un égo un peu surdimensionné.
Il est vrai qu’en termes de communication, le numéro 1 mondial est à l’opposé de Jannik Sinner, dans un style beaucoup plus ouvert. De là à en tirer des conclusions sur son niveau de jeu, c’est un pas que l’on ne franchira pas même si la comparaison avec le « moine » italien peut aller dans ce sens.
Maintenant, il sera intéressant de voir où se situera son degré d’implication sur le Masters de Turin et notamment dès le premier match qui est souvent décisif sans dans cette compétition. Tous les fans l’attendent au tournant et c’est bien normal tant ce joueur peut proposer un tennis venu d’une autre planète.
Publié le dimanche 2 novembre 2025 à 11:45