« Quand le superviseur de l’ATP est venu à Belgrade, en décembre dernier, il n’y avait rien, Juste quelques vieux courts de tennis pourris… On nous prédisait le pire mais il existe
un mot en serbe qui résume bien notre philosophie : “inat”. Qu’on pourrait traduire par : “Si vous pensez qu’on n’y arrivera pas, alors on fera tout pour vous contredire.” On s’est mis au boulot comme des fous. En fait, pendant quelques mois ici, c’était comme si on était à l’armée : discipline et sueur. » a expliqué Goran, l’oncle de Djokovic dans l’Equipe pour expliquer comment les organisteurs étaient parvenus à relever le challenge de devenir en quelques mois une étape de l’ATP Tour.
Publié le mercredi 6 mai 2009 à 13:40