Un Nadal peut en cacher un autre… Enfin, à une lettre près. S’il y a probablement pire que d’être confondu avec un champion cumulant 20 titres du Grand Chelem, c’est souvent ce à quoi est réduit le joueur indien Sumit Nagal. Pointant actuellement à la 150e place mondiale, l’Indien disputera ce vendredi son premier quart‐de‐finale sur le circuit ATP, à Buenos Aires face à Albert Ramos‐Vinolas (46e), après avoir sorti la tête de série n°2 Cristian Garin (22e) au tour précédent. A cette occasion, il a évoqué pour le quotidien argentin Olé tout ce que lui évoquait ces comparaisons avec la légende espagnole, pour qui il éprouve le plus grand respect.
« Je ne peux pas être comparé à Rafa. C’est un phénomène sur et en dehors du court. Ceux qui me comparent à lui m’amusent parce que cela n’a aucun sens. J’adore le regarder jouer. C’est l’un des joueurs que je vois le plus jouer, mais j’ai aussi adoré David Ferrer : comment il bougeait, ses coups, sa mentalité, sa faim, son instinct de compétition. Tout. Ce sont mes deux plus grandes idoles. »
Publié le vendredi 5 mars 2021 à 15:16