Richard Gasquet, vainqueur 6⁄4 6⁄2 de l’Allemand Michael Berrer (ATP 51) et repris par Le Parisien :
« C’était un match qu’il fallait gagner, tout simplement. Je me suis fait un peu peur au début car je n’ai réussi à faire le break qu’au bout de ma 10e occasion. J’ai eu six balles de break à 1–1 et trois à 3–3, ça commençait à faire beaucoup… Mais je n’ai pas cogité. C’était bien de breaker à ce moment‐là, j’ai breaké quand il fallait (à 3–3 donc).
Je n’avais jamais été en 8e de finale ici, le fin fond des Etats‐Unis ne m’a jamais réussi, je ne sais pas pourquoi. Ce n’est qu’un 8e de finale, on ne va pas s’envoyer en l’air mais c’est bien quand même. En ce moment, je n’ai mal nulle part, le bras va bien, je n’ai pas mal au dos, je n’ai pas besoin d’anti‐inflammatoires, alors on va brûler un cierge pour que ça continue. »
Publié le mercredi 18 août 2010 à 20:42