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Revue de presse londonienne

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Dans la presse aujourd’hui, évidem­ment le mot confu­sion revient dans presque toutes les bouches et tous les titres chez nos amis anglais. Cependant, ils n’épargnent pas Murray, dont le jeu ne séduit pas outre‐Manche. L’autre débat est sur Rafael Nadal, son état de forme et son tennis qui a perdu de sa superbe.

The Guardian parle de sort « cruel » pour Murray, éliminé à un jeu près par Juan Martin Del Potro dans leur course à distance pour les demi‐finales. Le quoti­dien britan­nique fait le point sur Nadal, qui n’a plus gagné un set contre un top 10 depuis la demi‐finale de Madrid contre Novak Djokovic. « Sans ses coups et en manque de confiance, Nadal prévient que son état n’est que tempo­raire » écrit le journal.

Pour The Indenpendant, « la confu­sion a régné » pendant un moment, avant que « Del Potro passe Murray au jeux average. » L’Argentin a d’ailleurs dû attendre 25 minutes après le match pour savoir s’il était qualifié ou non. L’autre papier concerne Nadal, et se demande ce qu’est devenu le jeu de Rafa, et évidem­ment sa réelle condi­tion physique.

The Times écrit que « Murray doit se débar­rasser des para­sites qui le font encore douter », dans un match où l’Écossais fut trop passif pour le quoti­dien londo­nien. L’autre papier concerne « la farce » lors des comptes finaux de la quali­fi­ca­tion finale. Petit moment de détente avec Del Potro qui a échangé quelques balles avec Carlos Tévez après sa victoire sur Roger Federer

The Daily Telegraph parle de « confu­sion au milieu de la nuit », entre les sets et les jeux gagnés, et les tête‐à‐tête respectifs.

La BBC évoque aussi la « confu­sion » et la « façon bizarre » dont Murray a été éliminé.

Skysports a préféré miser sur la victoire de Del Potro, qui élimine Murray. Le numéro 4 mondial s’en est donc sortie avec une victoire, « en vain. »

Le Matin se console de la défaite de Federer par sa quali­fi­ca­tion pour les demi‐finales. Le quoti­dien suisse met les projec­teurs sur Soderling, ou « l’in­vité qui ne veut pas partir. »

De votre envoyé spécial à Londres