Questionné sur sa relation particulière avec son l’un de ses deux entraîneurs, Darren Cahill, dont le travail est davantage axé sur la préparation mentale, Jannik Sinner a tenu à rendre un vibrant hommage au coach australien pour son expérience et son simplicité.
« Je n’ai pas dit qu’il ne m’avait pas aidé sur le plan tactique et technique. Je pense que la combinaison entre lui et Simone Vagnozzi fonctionne très bien. En raison de son âge, il a plus d’expérience que l’ensemble de l’équipe. Il est donc très important pour nous tous. Je me sens chanceux d’être à ses côtés, parce qu’il est très humble. En ce moment, nous vivons dans la même maison et c’est une personne normale, comme moi, comme mon père et comme tout le reste de l’équipe. Il s’entend très bien avec toute l’équipe, et je pense que c’est le plus important. Il me connaît très bien maintenant, parce qu’il connaît mon corps. Il sait ce dont j’ai besoin sur le terrain. Nous discutons parfois un peu plus longuement et nous essayons de comprendre ce qui est le mieux pour moi, et c’est tout. Il est certainement l’un des meilleurs entraîneurs sur le circuit depuis longtemps, et puis, avec la combinaison de Simone, que je reconnais comme l’un des meilleurs entraîneurs, c’est une combinaison parfaite. »
Publié le dimanche 10 mars 2024 à 18:48