AccueilATPATP - Monte CarloNadal : "Je me sens prêt à bien jouer"

Nadal : « Je me sens prêt à bien jouer »

-

Il y a un an, Rafael Nadal deve­nait le premier joueur de l’histoire à remporter un tournoi à dix reprises. Un an plus tard, l’Espagnol revient à la compé­ti­tion après avoir enchaîné les pépins physiques depuis janvier. Le numéro 1 mondial a fait le point avant de débuter le Masters 1000 de Monte‐Carlo. Morceaux choisis.

Sur son retour à la compé­ti­tion à l’occasion de la Coupe Davis…

« C’était un week‐end positif pour moi car c’est diffi­cile de revenir à la compé­ti­tion. J’ai joué deux matchs sous pres­sion car à chaque fois on était derrière au score (0−1 et 1–2). Et à chaque fois j’ai joué un bon tennis. »

Sur le début de la saison sur terre battue…

« J’ai effectué des bonnes séances d’entraînement en jouant des bons sets. J’aime ce tournoi, je me suis toujours senti à l’aise ici et ce sont de bonnes condi­tions pour jouer au tennis. J’ai des excel­lents souve­nirs de Monte‐Carlo. Je dois encore bien m’entraîner jusqu’à mes débuts et quand la compé­ti­tion arri­vera, je devrai donner mon maximum. J’espère que ce sera mon premier tournoi de l’année que je pourrai finir (sourire). »

Sur ses sensations…

« Je me sens bien, je m’entraîne bien et je joue avec la bonne inten­sité. Je me sens prêt à bien jouer. Après est‐ce que cela arri­vera ? Je ne sais pas. Je manque encore de compé­ti­tion pour dire à 100% où j’en suis mais les sensa­tions sont bonnes. »

Sur ses blessures…

« L’Australie a été un moment diffi­cile avec cet abandon (en quart de finale face à Marin Cilic). J’ai pris du temps, je me suis reposé et j’ai fait tout ce que le médecin m’a dit. Je suis allé à Acapulco et juste le jour qui a précédé, lors d’un entraî­ne­ment avec Adrian (Mannarino), je me suis fait mal. La deuxième bles­sure était plus diffi­cile que la première même si c’était un Grand Chelem. La deuxième était frus­trante car j’avais l’impression d’avoir tout bien fait et d’avoir suivi les conseils du médecin. C’était diffi­cile à accepter. Avec cette bles­sure (au psoas), je ne pouvais rien faire, aucun travail physique. Tous les mouve­ments que je faisais affec­taient la bles­sure. C’était une période diffi­cile et je n’aime pas pouvoir rien faire. »

De votre envoyé spécial à Monte‐Carlo