Voici la dernière chronique de Julien Bouter, le directeur du Moselle‐Open qui sera bien occupé tout à l’hure à 18H30 pour le tirage au sort de l’edition 2021.
Cette fois, Julien se souvient de la finale en 2011 entre Ivan Ljubicic et Jo‐Wilfried Tsonga, une finale remportée par le Tricolore 6–3, 6–7 (3), 6–3.
« Pour moi, il s’agit de la finale la plus aboutie après une très belle semaine. On est au parc des expositions, le central est bondé, le match tient tout le monde en haleine. C’était comme une apogée. En tant que directeur, c’est vraiment un moment « jouissif » car on a aussi l’impression de donner du bonheur aux gens, à nos partenaires et aussi aux fans. Après, il y a aussi le vainqueur, Jo‐Wil qui a toujours eu une sacrée cote auprès du public. Cette année là, il était en grande forme et il avait donc jouer son rôle d’ambassadeur à fond »
Première chronique : Déjà en 2006, Djokovic voulait être aimé.
Deuxième chronique : Brad Gilbert et la soupe à la grimace.
Troisième chronique : « Un jour, l’agent de Federer a décidé qu’il valait 20 fois plus que Pete Sampras et tout a flambé ».
Quatrième chronique : « L’effet Marat Safin, c’est une queue de 100m à l’ouverture de la Billetterie »
Publié le samedi 18 septembre 2021 à 17:23