Qualifié pour le dernier carré du BNP Paribas Masters après sa victoire sur Tomas Berdych (7–6(9) 7–5), Andy Murray s’est rapproché de la première place mondiale.
Un match. Pour s’emparer de la première place mondiale, Andy Murray doit remporter sa demi‐finale du BNP Paribas Masters. Pour s’offrir le droit de réaliser son rêve, le Britannique a dominé Tomas Berdych (7–6(9) 7–5) après avoir sauvé sept balles de premier set, dont cinq en étant mené 6–1. « Je ne m’attendais pas à remporter le premier set. À 6–1, les joueurs ne renoncent pas mais il est difficile de remporter une manche quand on est mené dans le tie‐break. Il faut jouer chaque point et quand on revient à 6–4, l’adversaire devient plus tendu. Il a fait plus d’erreurs à ce moment‐là. J’ai pu capitaliser dessus. »
.@andy_murray d. Berdych 76 75 @bnppmasters to win 18th consecutive match & 1 win away from becoming No. 1 in #Emirates #ATP Rankings.
— ATP Media Info (@ATPMediaInfo) 4 novembre 2016
Avant de rentrer dans la salle parisienne, l’Écossais venait de voir l’élimination de Novak Djokovic par Marin Cilic. De quoi lui rajouter de la pression ? « Avant le match, j’étais un peu plus nerveux qu’au début de la semaine. Mais une fois sur le court, je n’ai pas senti une différence avec les autres matchs. Je n’ai pas joué différemment. C’était un match que je voulais gagner comme les autres. »
Le Britannique a une occasion en or d’atteindre la première place mondiale. Néanmoins, il refuse de parler d’une quelconque « finale ». « Ce n’était pas mon objectif au début de la semaine, ni il y a deux ou trois mois. Être numéro un mondial ne dépend pas d’un seul match. Cela vient du travail sur toute une année. Si cela ne se produit pas demain, cela pourra arriver dans quelques mois. Je ne me mets pas une pression supplémentaire parce que je pense que j’aurai l’opportunité d’y parvenir dans le futur. »
De votre envoyé spécial à Bercy
Publié le vendredi 4 novembre 2016 à 22:51