À la veille de son entrée en lice au Masters de 1000 de Shanghai, Andy Murray arrive en confiance à la suite de sa victoire à Pékin où il a décroché son cinquième trophée de la saison. De quoi rêver à la première place ?
La place de numéro 1 mondial n’est plus un rêve impossible pour Andy Murray. Le Britannique y croit. Son succès à Pékin a confirmé qu’il se rapprochait, lentement mais sûrement, de la première place mondiale de Novak Djokovic. Au cours de sa traditionnelle conférence de presse d’avant‐tournoi, le Britannique n’a pas échappé à la question concernant le sujet (propos relayés par le site Internet de l’ATP). « Je me sens motivé. Je veux essayer de terminer fort l’année afin de me donner un certain élan pour la saison prochaine (…) J’ai une chance d’être numéro 1 cette année. Je ne sais pas si elle est grande ou petite. Je suis encore un peu loin de Novak (Djokovic) au niveau des points. Mais Novak a pas mal de victoires à défendre jusqu’à la fin de saison. Je vais poursuivre ce que je fais. Les derniers mois ont été les meilleurs de ma carrière et je vais donner mon maximum pour me rapprocher autant que possible. Si je donne mon meilleur, alors peu importe si je le fais ou pas, je serai heureux à la fin de l’année. »
Publié le mardi 11 octobre 2016 à 17:30