AccueilATPATP - VienneTsonga et Pouille, les valses de Vienne

Tsonga et Pouille, les valses de Vienne

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Lucas Pouille et Jo‐Wilfried Tsonga dispu­te­ront les demi‐finales de l’ATP 500 de Vienne après avoir disposé, respec­ti­ve­ment, de Richard Gasquet et Alexander Zverev. A un mois de la finale de Coupe Davis, le clan trico­lore retrouve le sourire.

Pouille, le retour en forme

L’ATP 500 de Vienne a pris l’accent fran­çais. Après avoir connu des semaines diffi­ciles et enchaîné des hauts et des bas, Lucas Pouille confirme son regain de forme à Vienne en se quali­fiant pour les demi‐finales après avoir écarté son compa­triote Richard Gasquet (7–6(5), 6–1). Si le premier set a été rela­ti­ve­ment cris­pant avec deux joueurs bran­chés sur courant alter­natif, le Nordiste s’est libéré après le gain du jeu décisif. La suite a été à sens unique et le protégé d’Emmanuel Planque dispu­tera sa sixième demi‐finale de la saison. Un retour en forme au meilleur des moments, lui qui vise une place pour la finale de la Coupe Davis à Lille. Et en demi‐finale, il a une belle carte à jouer face à Kyle Edmund, tombeur de Jan‐Lennard Struff.

Tsonga enchaîne et peut encore rêver de Londres

De son côté, Jo‐Wilfried Tsonga confirme ses très bonnes dispo­si­tions. Après avoir remporté le titre à Anvers dimanche dernier, le Manceau enchaîne et sera au rendez‐vous des demi‐finales dans la capi­tale autri­chienne après s’être offert une excel­lente victoire aux dépens d’Alexander Zverev, 7–6(6), 6–2. Pourtant, c’est l’Allemand qui avait pris le meilleur départ en menant 3–0 au premier set. Sans s’af­foler, JWT s’est appuyé son service (76% de réus­site sur ses premières) et son coup droit pour recoller et accé­lérer au tie‐break. Le gain de celui‐ci a fait la diffé­rence et le numéro 1 fran­çais dispu­tera les demi‐finales de Vienne face à l’une de ses victimes préfé­rées : Philipp Kohlschreiber (10−1). Et si jamais Jo venait à enchaîner un nouveau « back‐to‐back », il revien­drait sur les talons de Pablo Carreno Busta et pour­rait donc rêver d’une quali­fi­ca­tion au Masters de Londres…

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