Invité sur Sky Sport Italie, Jannik n’a pas été épargné par son directeur des sports quand celui‐ci a évoqué l’idée qu’à 50 km près, il aurait finalement pu être autrichien.
Touché, Jannik a préféré encaissé puis réciter un « wording » sûrement soufflé par son directeur de « com ».
« C’est une question à laquelle je ne sais pas comment répondre. Je ne sais pas. C’est comme dire : parce qu’il y a du soleil aujourd’hui, il ne pleuvra pas. Mais je suis fier d’être italien, je suis très heureux d’être né en Italie et non en Autriche ou ailleurs. Parce que, comme je l’ai toujours dit et je le dis avec la plus grande sincérité ce pays mérite bien plus que ce que je fais : nous avons des infrastructures, des entraîneurs, des joueurs, tant de mentalités différentes qui sont aussi notre force. Il y en a qui disent que le Haut‐Adige est différent, qui disent que la Sicile est totalement différente… mais selon moi, c’est une chance. Nous avons tout pour rivaliser avec les meilleurs au monde : nous devons rester unis, nous aimer et nous donner de la force mutuellement pour remporter plus de trophées et avoir encore plus de fierté, parce que l’Italie le mérite »
Publié le mercredi 5 novembre 2025 à 08:40