On veut bien croire que les Italiens se sentent pousser des ailes mais il y a quand même certaines limites à respecter. Déjà largement présent dans les instances de l’ATP avec quelques discussions plus que discutables notamment concernant la ville qui reçoit le Masters, c’est le président de la fédération qui est monté au créneau fort du succès du tournoi de Rome. Si l’envie est là, le diagnostic est ridicule…
« On est dans une situation très anormale. Dans quel autre domaine de la société dans le monde existe‐t‐il un monopole qui dure depuis plus de 100 ans comme les tournois du Grand Chelem. Nous allons chercher, de toutes les façons possibles, à apporter notre contribution et à combattre ces monopoles. Pourquoi les points attribués à des Grands Chelems sont deux fois plus importants ce que ceux attribués à un Masters 1000 ? Je pense que tout cela n’est absolument pas juste, cela préserve des monopoles et n’aide pas le tennis à se développer. »
Publié le lundi 19 mai 2025 à 09:25