Après sa victoire contre Stefanos Tsitsipas, synonyme de 22e titre en Grand Chelem, Novak Djokovic a parlé de la difficulté de « percer » et de réaliser ses rêves en étant originaire de petits pays comme la Serbie ou comme la Grèce.
« Je ne m’en rend peut‐être pas complètement compte mais je pense sincèrement et j’espère sincèrement que les jeunes en Serbie trouvent ça inspirant. Il faut que ça les inspire, que ça les motive à prendre une raquette ou autre chose, que ce soit dans le sport ou un autre milieu. Comme j’ai dit sur le court, il faut rêver grand et croire en ses rêves. On a entendu ça avant, ça peut paraître cliché, mais c’est vrai. En venant de pays comme la Serbie et la Grèce, qui n’ont presque pas le tennis dans leurs traditions, ça rend le défi encore plus difficile, les objectifs encore plus grands et hauts à atteindre. Il faut un peu créer son propre chemin quand on veut être le premier à faire quelque chose, bien sûr entouré de sa famille, de ses proches, et de ses coachs. Mais c’est ce qui rend l’expérience encore plus unique et gratifiante. J’apprécie encore plus tout ce que j’accomplis parce que je sais où ça a commencé », a expliqué le numéro 1 mondial.
Publié le mercredi 1 février 2023 à 12:46