Si les autorités du tennis et l’ITIA (l’agence internationale pour l’intégrité du tennis) assurent avoir simplement suivi à la lettre le règlement au cours de l’affaire Jannik Sinner (testé positif à deux reprises en mars dernier puis autorisé à jouer jusqu’à ce qu’il soit blanchi), cela n’a pas empêché de nombreux joueurs de dénoncer un traitement de faveur.
« La chose qui doit être éclaircie est la suivante (et c’est peut‐être ma faute si je ne le sais pas) : en cas de contrôle antidopage positif, comment détermine‐t‐on s’il y a ou non suspension provisoire ? », s’est interrogé l’analyste tennis, Gill Gross, travaillant pour Tennis Channel ainsi que pour l’US Open.
Si cette question se pose et que les plaintes sont si nombreuses, c’est sans doute que le règlement doit en effet être éclairci.
Publié le vendredi 23 août 2024 à 13:48