L’annonce de la fin de la collaboration entre Carlos Alcaraz et Juan Carlos Ferrero a choqué même en Espagne, où le journaliste José Moron, rédacteur en chef de Punto de Break, a exprimé sa déception.
Ferrero dejó todo para formar a Carlitos.
— José Morón (@jmgmoron) December 17, 2025
Cuando Alcaraz llegó a la Academia hace siete años, Juanki venía de entrenar a Zverev y tenía ofertas de medio Top 10, pero fue verle jugar y decidió tomar las riendas de su carrera.
Sin garantía de nada, creyó en Alcaraz y lo que podía… pic.twitter.com/LtCDH738FD
« Ferrero a tout quitté pour former Carlitos. Quand Alcaraz est arrivé à l’Académie il y a sept ans, Juanki venait d’entraîner Zverev et avait des offres de la moitié du Top 10, mais il l’a vu jouer et a décidé de prendre les rênes de sa carrière. Sans aucune garantie, il a cru en Alcaraz et en son potentiel. Il a été comme un deuxième père pour lui pendant tout ce temps. Sans Ferrero, Carlos n’aurait pas accompli tout ce qu’il a accompli. Un parcours couronné de succès et digne d’être encadré qui, à mon avis, s’achève prématurément. Je pense que le duo Alcaraz‐Ferrero avait encore plusieurs années devant lui. À seulement 22 ans, Carlos avait encore beaucoup à apprendre de Juanki. C’est dommage, à mon avis. »
Publié le mercredi 17 décembre 2025 à 16:11