Répondant au New‐York Times, le joueur américain Denis Kudla qui est resté une semaine à Melbourne avant de partir sur le challenger à Bendigo a tiré un bilan plutôt catastrophique de la situation : « Selon moi, nous n’avons jamais été aussi proche d’annuler un tournoi du Grand Chelem. Et prendre la décision de le maintenir va être difficile. Car très clairement si la fumée empire, je ne pourrais pas imaginer jouer un match de quatre, cinq heures et ne pas tousser comme un fou par la suite. De plus, quelles conséquences peuvent avoir sur notre santé le fait de jouer dans un ciel couvert de fumée ? Personne ne le sait sauf que cela ne doit pas être bon, ça c’est certain »
Publié le lundi 6 janvier 2020 à 18:27