Particulièrement marqué par la fin de sa collaboration avec Carlos Alcaraz, qu’il entraînait depuis sept ans, Juan Carlos Ferrero aa néanmoins reconnu une certaine usure presque naturelle après tant d’années à travailler avec la même personne.
« On finit toujours par se lasser un peu quand on passe autant de temps ensemble. Je pense que voyager autant, être loin de chez soi aussi longtemps, ce genre de choses, ça use. Le truc, c’est qu’on se soutenait beaucoup au sein de l’équipe, et l’une des raisons de l’arrivée de Samuel était justement d’éviter que cette relation ne se détériore. Toutes ces semaines ont été bénéfiques. Il s’agissait d’utiliser de nouveaux mots, de nouvelles façons de dire les choses, avec le même objectif mais d’une manière différente. Et c’était l’une des méthodes pour éviter le burn‐out. »
Publié le mercredi 31 décembre 2025 à 14:14